1) Créez un puissant désherbant 100 % naturel en … 2) La parole à ceux qui nous nourrissent…
Revue de presse du dimanche 04 juin
Créez un puissant désherbant 100 % naturel en quelques minutes !
Découvrez la nouvelle solution miracle pour votre jardin, sous la forme d’un désherbant naturel à faire soi-même en 5 minutes, avec seulement 3 ingrédients.
Posséder un jardin est certes très agréable, mais représente aussi une charge considérable d’entretien. Parmi les tâches les plus fastidieuses, se trouve le désherbage, surtout si vous possédez une grande surface. Voici comment procéder pour réaliser vous-même un désherbant naturel efficace et écologique, facilement, en moins de 5 minutes ! De quoi transformer le désherbage en une partie de plaisir ! (Continuer à lire ci_dessous)
La parole à ceux qui nous nourrissent
Ils sont nombreux les agriculteurs aux portes d’Agen et il faut les écouter. Rencontre avec Christophe Avi, viticulteur bio à Laplume.
Christophe Avi s’est installé en GAEC du Bois de Simon (groupement d’agriculteurs en commun) avec ses parents en 1992. Il n’a eu de cesse de faire évoluer la surface du vignoble et la qualité de sa gamme de vins. (Continuer à lire ci_dessous)
Pour désherber une cour en gravier sans effort, pensez au désherbeur mécanique tracté ECOLOGiX distribué par CYRiX.
Désherbant naturel : la recette
Pour réaliser ce désherbant naturel, rien de plus simple ! Il suffit de vous munir de trois ingrédients communs : du vinaigre blanc, de l’eau et du gros sel. Le vinaigre blanc, déjà très utile pour le ménage, va également faire des miracles dans votre jardin ! Mélangez alors 5 litres d’eau, un kilo de sel et 200 ml de vinaigre blanc. Si vous souhaitez varier la quantité, la formule à respecter est la suivante : le volume d’eau doit faire 2,5 fois celui du vinaigre et 5 fois celui du sel. Transvaser le liquide dans un vaporisateur puis observez les mauvaises herbes faner ! Restez vigilants afin de ne pas pulvériser le désherbant sur vos plantes, qui risqueraient de faner à leur tour.Les produits chimiques, solution radicale et efficace, peuvent souvent êtres tentants. Cependant, ils ne sont pas recommandés pour jardiner, car leur composition est toxique pour le sol, les insectes, les plantes, les animaux domestiques et vous-même. En effet, certains herbicides vont contenir des substances potentiellement cancérigènes et sont à proscrire absolument. De plus, les produits naturels et bio sont plus respectueux de l’environnement, non-polluants et beaucoup plus économiques !
Il existe de multiples autres façons de désherber son jardin sans avoir recours à des produits chimiques. Vous pouvez réaliser cette tâche manuellement, à l’aide d’un sarcloir ou d’une binette. Cela signifie un travail physique laborieux, plus lent, mais présente l’avantage d’arracher les adventices à la racine, ce qui va ralentir considérablement la repousse. Vous pouvez également tester d’autres astuces de grand-mère efficaces, comme verser de l’eau bouillante directement sur les mauvaises herbes, les saupoudrez de bicarbonate de soude ou encore réaliser un paillage, qui les étouffe et empêche leur apparition.
[Lire la suite sur monjardinmamaison.maison-travaux.fr]
Christophe Avi. "Lorsque j’ai débuté avec mes parents, nous n’avions encore que peu de vignes. L’élevage était l’activité principale. Quelques hectares produisaient un vin "à la tirette". Après un bac pro et un BTS œnologie, j’ai rapidement eu pour ambition de produire des vins en bouteille. Ce fut le cas à partir de 2000. Nous avons la particularité d’être à cheval sur deux appellations : Buzet et Brulhois. En 2015 j’ai récupéré des vignes en fermage qui était affiliées à la cave coopérative des Vignerons de Buzet. J’ai dû créer le "Domaine des trois L" en appellation Buzet pour rester vigneron indépendant sur mes parcelles. J’ai une parcelle dénommée "Bois de Simon" et c’est ainsi qu’a été créé le "Domaine du bois de Simon" pour l’appellation Brulhois. Le domaine Christophe Avi est l’entité qui gère la partie commerciale.""Je possède actuellement 34 hectares de vignes qui renferment les principaux cépages que l’on trouve dans le Sud-Ouest : cabernet franc, cabernet sauvignon, merlot mais aussi gros manseng, colombard et tannat. Je commercialise sous les appellations AOP Buzet, AOP Brulhois et Vins de France des vins qui sont mis directement en bouteille dans mes chais ou en Bib (bag in box). Une dizaine de vins (rouge, rosé et blanc) à boire jeune ou à laisser vieillir quelques années. Je veux des vins festifs : des vins d’apéro, à ceux que l’on déguste en harmonie avec des plats du terroir. D’où leurs dénominations : "L’Avi est belle", "Le vin c’est l’Avi"…
"J’ai toujours pratiqué une agriculture raisonnée et mon exploitation est d’ailleurs entièrement certifiée HVE (haute valeur environnementale). Depuis 2018 j’ai entamé cette conversion en bio. Je cherche à produire des vins plus vivants. Les consommateurs recherchent d’ailleurs de plus en plus des vins en relation avec le terroir. Je pratique aujourd’hui une viticulture bio sur 23 hectares. Je tiens compte également du calendrier lunaire. Je ne fais, par exemple, mes mises en bouteille que les jours "fruits". Je ne sais pas expliquer pourquoi, mais je constate qu’ainsi les vins s’ouvrent plus facilement. Je ne traite également qu’avec des produits autorisés en bio. Je cherche à pratiquer une viticulture respectueuse de la vigne à toutes les étapes, y compris la taille. J’avais toujours cherché à réduire au maximum les quantités de produits phytosanitaires. Ça ne me plaît pas de passer une journée entière sur le tracteur à traiter. Sur 11 hectares, je désherbe sous les rangs. On ne trouve pas toujours la main-d’œuvre nécessaire pour désherber mécaniquement et accomplir d’ailleurs les autres tâches propres à la vigne."