1) Désherbage du maïs: face à l’évolution … 2) Désherbage mécanique, une alternative aux herbicides …
Revue de presse du dimanche 23 avril
Désherbage du maïs: face à l’évolution des zones tampons, consultez régulièrement PhytowebRecours aux buses anti-dérive 75 % ou 90 %, zones tampons, bandes enherbées… Le Cipf fait le point sur les différentes mesures à respecter lors du désherbage des parcelles de maïs. (Continuer à lire ci_dessous)
Désherbage mécanique, une alternative aux herbicides présentée aux agriculteurs au Haut-Corlay Jeudi 6 avril, Claire Poyac et Mylène Courtot, conseillères en agronomie à la Chambre d’agriculture de Bretagne, avaient donné rendez-vous aux agriculteurs locaux, au Gaec du Kerbonio, du Haut-Corlay, pour une démonstration de désherbage mécanique. Animée par la Cuma de la Grande Eau, la démonstration a mis en lumière trois outils, qui permettent, au bon moment et dans de bonnes conditions, d’éviter le recours au désherbage chimique des parcelles de maïs. (Continuer à lire ci_dessous)
Pour désherber une cour en gravier sans effort, pensez au désherbeur mécanique tracté ECOLOGiX distribué par CYRiX.
D epuis le 1er janvier 2019, l’utilisation d’un matériel d’application qui limite la dérive de 50 % au minimum est obligatoire en Région wallonne. En technique de pulvérisation classique, cela se traduit par l’utilisation de buses à 50 % de réduction de dérive. La liste des buses à réduction de dérive reconnue est mise à jour et publiée sur la plateforme fytoweb (https://bit.ly/3U66v58). Seules les buses reprises sur cette liste peuvent être utilisées en pulvérisation classique en Région wallonne.Il est à prendre en compte également que lorsqu’un produit provoque des effets néfastes sur les plantes non ciblées et arthropodes/insectes non ciblés (NTA/NTP), l’utilisation de jets anti-dérive est obligatoire afin de réduire la dérive autant qu’il est nécessaire. Lorsque cette mesure de réduction de la dérive est nécessaire, cela est indiqué sur l’étiquette par la phrase de précaution SPe3 suivante : « Pour protéger les plantes non-ciblées et les arthropodes/insectes non ciblés, appliquer obligatoirement un pourcentage minimum de réduction de la dérive (voir mesures de réduction du risque) ».
Pour ces produits, il faut appliquer la technique de réduction de la dérive (75 % et 90 %) indiquée sur l’étiquette sur l’ensemble de la parcelle. Le tableau 1 reprend les produits concernés par cette restriction en culture de maïs.
Selon le traitement choisi, l’utilisation de buse anti-dérive à 75 % voire 90 % s’avère parfois obligatoire. Le tableau 2 reprend les différentes buses reconnues pour une application à 150-200 l/ha d’eau. Celles-ci sont au nombre de dix pour une réduction à 75 % de la dérive et au nombre de deux pour une réduction à 90 %.
Sur la liste publiée sur fytoweb, d’autres buses sont également référencées mais toutes ont des tailles plus grandes ce qui signifie une application avec une plus grande quantité d’eau.
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« La culture du maïs va souvent de pair avec l’utilisation d’herbicides, notamment le S-métolachlore, une molécule que l’on retrouve en quantité dans les cours d’eau, une véritable problématique sur le territoire breton. Aussi, grâce au financement de l’Agence de l’eau, de la Région, du Département et de LCBC, nous avons organisé cette rencontre pour faire connaître et comprendre les leviers favorables au désherbage mécanique », conclut Mylène Courtot.[Lire la suite sur www.letelegramme.fr]