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1) Désherbage du maïs: peu de nouveauté… 2) Désherbage du maïs: contre les vivaces, …

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Revue de presse du vendredi 21 avril

Désherbage du maïs: peu de nouveautés… et des matières actives à utiliser avec précaution
En pré ou en postémergence, face aux dicotylées annuelles et autres graminées estivales, dans le respect des conditions d’application… Le Cipf expose ici ses recommandations pour les travaux de désherbage des parcelles de maïs, dans un contexte phytosanitaire et réglementaire qui évolue d’année en année. (Continuer à lire ci_dessous)

Désherbage du maïs: contre les vivaces, les solutions actuelles conservent leur efficacité
Liseron des haies, repousses de pommes de terre, souchet comestible… Face à ces adventices, une stratégie adéquate doit être mise en œuvre. En la matière, les produits disponibles actuellement sur le marché conservent leur efficacité. (Continuer à lire ci_dessous)

Pour désherber une cour en gravier sans effort, pensez au désherbeur mécanique tracté ECOLOGiX distribué par CYRiX.

A près les semis, il sera déjà temps de penser au désherbage des parcelles de maïs… La nouvelle saison débutera, en effet, bientôt sur des chapeaux de roues. À cette occasion, le Centre indépendant de promotion fourragère (Cipf) expose ses recommandations en la matière, après un bref retour sur la saison écoulée.L’année dernière, les premiers semis ont débuté vers le 15 avril dans des conditions loin d’être idéales en raison de sols secs et de températures plutôt fraîches pour, in fine, se poursuivre sans entrave jusqu’en mai. Au 10 mai, une large majorité des surfaces de maïs était semée.
Suite à la sécheresse du sol, peu de traitements ont été réalisés en pré-émergence et beaucoup ont été reportés en post-émergence. La majorité des traitements de post-émergence ont été réalisés au stade 3 à 5 feuilles visibles du maïs, dans des conditions sèches et chaudes de mai qui ont nui à l’efficacité des traitements ; l’action par le sol étant fortement réduite dans ces conditions.
Dans les cas où les parcelles ont été traitées au bon moment et avec la bonne combinaison de produits, les résultats étaient généralement satisfaisants.
Pour les agriculteurs qui ont attendu les pluies de début juin pour traiter, la lutte herbicide n’a pas toujours été couronnée de succès. Il n’était pas rare de rencontrer des insuffisances contre quelques adventices qui ont pu occasionnellement concurrencer la culture.

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S i la lutte contre les graminées (lire notre édition du 30 mars) est cruciale pour laisser la culture de maïs exprimer son plein potentiel, il en va de même en présence de vivaces. Face aux différentes situations rencontrées, le Centre indépendant de promotion fourragère (Cipf) livre ses conseils pour un désherbage réussi.La principale difficulté réside dans l’apparition échelonnée des liserons et la difficulté de détruire le système racinaire en profondeur.
Le Callam associe le tritosulfuron 12,5 % et le dicamba 60 %. Il est très efficace contre les liserons des haies à la dose de 0,4 kg/ha. En cas de forte infestation, le fractionnement de la dose 0,25 kg suivi d’une correction 10 jours plus tard avec 0,15 kg, procure les meilleurs résultats. Il peut être associé avec les produits couramment utilisés.
Le Casper associe le dicamba 50 % et le prosulfuron 5 %. Son efficacité contre liserons des haies est bonne également avec très peu de repousses l’année suivante. Il est agréé à la dose de 300 g/ha en une ou deux applications (200 g puis 100 g).
Le Banvel appliqué à la dose de 0,4 l est un compromis entre la sélectivité vis-à-vis de la culture et l’efficacité. En cas de forte infestation, il est appliqué dans la pratique à la dose de 0,4 l avec une correction Peak 20 g/ha si nécessaire. Il peut être associé aux autres substances actives habituellement utilisées. À la dose de 0,25 l, il détruit les renouées liserons, gaillets et mourons.

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